mercredi 25 janvier 2012

Persépolis


ah le joli film. je l'ai revu avec autant de plaisir. les 1001 nuits de Marjane Satrapi. trait et ton simples concis expressifs j'aime par-dessus tout les vagues

dessine-moi un mouton


Iron Maiden

lundi 16 janvier 2012

Burn After Reading

"What the fuck?!"
Avec les frères Coen, on est assuré d'un cinéma inventif, original et... jouissif.
Ce film est une énorme fumisterie, un incroyable gag d'une heure trente.
Quand tout se termine, enfin, on reste prostré, incrédule, subjugué par cette incroyable manipulation cinématographique!
Les acteurs, tous des pointures, sont complètement à contre-sens de ce que l'on attend d'eux.
La formidable parenthèse mise en évidence par les deux génériques nous dit çà: ce film, ces évènements, cette histoire, tout ça n'est qu'une broutille, mais quelle broutille ! Que d'acteurs excellents ! Quelle mise en scène ! Quelles images ! Oh oui encore des broutilles à la sauce Coen !! Comme disent Clooney et Frances McDormand "Au diable les broutilles, et tout devient broutilles" ....
Les frères Cohen sont les magiciens géniaux du cinéma américain. Ils nous baisent à chaque fois ! Et c'est tellement bon !

vendredi 13 janvier 2012

Hell Driver

Film américain de 2011 - Titre original : Drive Angry

Bof bof, Amber Heard est belle, il y a Nicolas Cage, il y a de l'action, mais bon c'est chiant.

On comprends vite où ils veulent en venir, pas de surprises et rien de consistant...

Il n'y a que William Fichtner que j'ai trouvé intéressant dans le rôle de "The Accountant". Mais ça suffit pas à sauver le film.

Enfin pas étonnant que ça ait été un flop (budget de 50 millions pour 30 millions de recette).


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mardi 10 janvier 2012

Percy Jackson le voleur de foudre


si l'un de tes parents était un dieu tu choisirais qui ?

lundi 9 janvier 2012

Leaves of grass


pas très inspirant ce film ... pourtant j'aime bien Edward Norton. et Susan Sarandon, en meilleur état que ds Hélas. Walt Whitman m'a jamais inspirée non plus : j'aimais que le titre, le même que celui du film. il est bien ce titre. il fait de bonnes affiches. piacere de voir le choix italien des frères et les noms à la ruska !
                          
feuilles frères

Jeux - Image

De quel film est extraite cette image ?


Bonus : qui est là ?
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dimanche 8 janvier 2012

Submarine

"ah bon, t'as une copine ?"
Ce film pourrait tout à fait se situer entre les "Beaux gosses", version trash de l'adolescence du XXIe siècle et "LOL", son pendant BCBG.
C'est rythmé, filmé avec inventivité, c'est assez drôle, Les personnages sont typés et parfaitement incarnés par de très bons acteurs.
Merci à Richard Ayoade de n'être jamais tombé dans la caricature et la moquerie facile. Il y a du respect et de la finesse dans ce film et ça on apprécie.
Mention spéciale aux parents d'Oliver, parfaits dans leur rôle du couple de gauche, un peu largué mais tellement et maladroitement aimant.

samedi 7 janvier 2012

Submarine

Chic un bon film ! (excellent même dans ses premières 30 ? minutes) subtil et drôle !



Et revoilà Sally Hawkins ! et un vêtement rouge ! Dans une crépusculaire lumière, ce n’est plus la robe rouge Biba mais le manteau rouge de l’étrange girlfriend d’Oliver, l’éloquent silencieux héros extravagant de ce film aqueux sous-mariné par l’océan à poissons de l’antihéros paternel (dont on apprend sans surprise qu’il avait joué dans La vie aquatique …)

Vizu

sick fluctuat mec mergitur


We want sex equality



Ralliez-vous à ma jupe verte !
C’est le docufilm qu’il est gentil. Sally Hawkins est très sympathique en Rita, on est soulagés de la voir secouer son monde de beaufs. T’es pas fier d’être un mec quand tu regardes ce film. Le seul mec correct c’est Albert joué par Bob Hoskins qui fait très personnage de Disney. D’ailleurs Rita a quelque chose de Mary Poppins in Fordland. Rita la fille que t’es fière d’être sa copine.

Vizu

la réplique du film : Cheese !


l'affiche est plus peps que le film



Bad Lieutenant

L'évangile selon Ferrara
Tiens pour changer des films mifig miraisin, si on reparlait de Bad Lieutenant ?
Pas le truc avec Nicolas Cage, non non, mais celui ô my God (ouh là y'a du sens là) d'Abel Ferrara avec le nain Harvey Keitel le Grand.
Voilà un film tout en puissance de la première à la dernière minute. Il y a de la force dans ce personnage presque fou, ivre et drogué de violence intérieure, de la force dans ces images dansantes et tremblantes de fièvre, caméra à l'épaule, de la force dans cette rédemption finale des âmes damnées. Ferrara nous enfonce méchamment la tête dans le sacré, celui qui, in fine, nous extirpe de cette boue dégueulasse où la vie nous a plongés... Putain quel film !

Inside man


Un film sympathique. Clive Owen est toujours bien, en homme de l’intérieur aussi, son costume à capuche lui va très bien. Jodie Foster fait la femme de l’extérieur dans son tailleur blanc cassé du coup on a le plaisir de voir le Jacqueline Kennedy Onassis reservoir derrière son grillage c’est pas le seul moment du film où on pense à Marathon Man. Mais dans Marathon Man on n’aurait que faire de cartons à pizzas. Tiens il paraît qu’on traverse Paris en courant d’est en ouest en 75 mn.
Vizu

des anchois dans ta pizza ?

We Want Sex Equality

les Pop-pom girls en grève
Le cinéma Anglais n'est jamais aussi bon que lorsqu'il s'attache à décrire ses prolos. C'est souvent drôle et sombre à la fois avec des élans de rock'n roll qui vous mettent les poils. Rien de tout ça dans ce film là. Ça reste gentil, les ouvriers sont souriants, les ouvrières sexys pour la plupart, les ministres goguenards et bon enfant et les syndicalistes, débonnaires. Personne ne fume, personne ne picole, personne ne se tape la tête contre les murs, c'est presque le pays des bisounours. Même la musique y est transparente (blood n' guts! en 1968!!!).
Tout çà en fait un gentil film à la limite de la comédie pas drôle et du film historico-social raté.

vendredi 6 janvier 2012

Inside Man

- T'es trop fort !
- Toi même !      
Un duel de gentlemen arbitré par une intrigante surdouée. On est ici dans un thriller où l'arme favorite est la rhétorique, ça va saigner dans les synapses. Le bas du front, car il en faut un, est ici joué par Willem Dafoe, excusez du peu.
Tout çà est finement huilé, ça roule sans anicroches ni effusion de quoi que ce soit sauf de matière grise.
Ils se taquinent méchamment avec des "vous êtes trop intelligent pour être un flic" ou encore "vous êtes trop intelligent, vous avez tout compris Monsieur le bandit", ça fait un peu salon de Madame Verdurin mais on jubile pas mal.
Les acteurs, excellents, avancent masqués, au propre comme au figuré et nous réservent quelques surprises de bon aloi.

jeudi 5 janvier 2012

Becoming Jane

"et si je me préparais une camomille ?"
Un jour John Smith (en vrai Julian Jarrold) veut faire un film sur Jane Austen, le grand écrivain Anglo-saxon bien connu des amateurs de cricket.
John Smith sait faire des films, après tout il a toujours été premier de la classe de cinéma, option "ménagère de moins de 50 ans".
Il sait choisir ses acteurs, ici, le gentil James McAvoy et la presque transparente Anne Hathaway et ses yeux de biche.
Il sait où poser sa caméra et comment la protéger des cacas de mouches. Il sait aussi qu'il faut une musique qui fait pas mal aux oreilles et quelques méchants messieurs qui vont faire rien que d'embêter nos deux tourtereaux tout marris.
A la fin on a un beau film. Rideau.

Becoming Jane


Les touches du piano sont noires la campagne est anglaise la truie a beaucoup de bébés le pasteur prodigue des douceurs à sa femme sous la couverture impossible de retrouver le nom de Maggie Smith ni de nous souvenir qu’elle joue le rôle du professeur Minerva à Poudlard seul me revient le nom de Michael Caine à qui elle me fait penser très fort je me demande même un moment si ce n’est pas lui Anne Hathaway n’a plus de Parkinson mais elle baise beaucoup moins je préfère les livres de Jane Austen ce film est comme ceux qu’on faisait il y a 40 ans c’est étonnant 
j’aimerais voir ce que ferait Jane Campion de Jane Austen
Vizu

                                        quasi abstraction de promenade en bord de mer 

mercredi 4 janvier 2012

L'Agence tous risques

iro... what ?
Re-voici Liam Neeson, qui, fort de son expérience de Jedi rompu à toutes les roueries de toutes les espèces vivantes, s'entoure d'une fine équipe de casse-cous pour déjouer les plans forcément machiavéliques d'un tas de dégénérés gouvernementaux ou para-militaires. C'est un peu téléphoné mais il y a du "jus", du spectacle et quelques scènes hautement vertigineuses.

Mi$e à Prix

A.K .... 47 ?
Ha mais que voici un petit film bien déjanté, bien foutu, farci de personnages "borderline" dont une plutôt sexy (Alicia Keys) et qui ne se prend pas au sérieux.
  Un film malin je trouve, pour s'en convaincre, voyez le sort voué à l'acteur principal, à savoir Ben Affleck en personne... Une sous Tarentinade, certes, mais débarrassée de son côté bavardage rive gauche, ce qui en fait un petit objet sur-vitaminé bien plaisant à déguster entre deux épisodes de "Plus belle la vie".

L'Agence tous risques


Les acteurs sont sympas. Liam Neeson n’a jamais été aussi détendu et les cheveux gris lui vont bien.
Bradley Cooper (37 ans demain) est toujours bronzé et séduisant, nettement plus que ds Limitless.


mardi 3 janvier 2012

Smokin' Aces

Film américain (2006) - Titre français : Mi$e à prix.

Film action / policier très confus. Ça ressemble un peu au style de Tarantino mais en beaucoup moins bien.
Il y a plein de personnages d'histoires qui s'entrecoupent, bref c'est un peu le bordel (comme pas mal de films qui se passent à Las Vegas).
Et puis bon l'histoire n'est pas non plus super passionnante.

Bref je trouve que c'est un mindfuck plutôt raté... D'ailleurs l'affiche aussi est confuse...
Enfin la fin est mieux que le début.

A noter que c'est le premier film où joue Alicia Keys.


Critique(s) d'autre(s) auteur(s) sur le film : Vizu, yOg


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Mise à prix


Le joli visage d’Alicia Keys ne suffit pas à sauver ce gros fatras lourd lourd comme son intro. 
Pour amateurs d’ascenseurs. 

Vizu


lundi 2 janvier 2012

Apocalypse Now

Martin Sheen en route vers l'enfer
Avec Apocalypse Now, en 1979, on vit un moment d'Histoire du cinéma. Comme Laughton et sa "Nuit du chasseur" en 1955, Coppola fabrique un mythe.
Pour cela il revisite celui des enfers, celui d'Hadès, que l'on va rencontrer après une longue dérive sur le fleuve Styx. Plus le film avance, plus la folie grandit, plus les lumières disparaissent pour ne devenir que des éclairs psychédéliques et subliminaux, de moins en moins perceptibles, on abandonne la lumière pour le noir, le feu et la mort... inéluctable et fascinante. Car il y a de la fascination dans ce spectacle de la guerre, où les Walkyries nous accompagnent, où le napalm se répand en tsunami, où les Doors et les Stones nous affolent de leurs chants de révolte. Ce sidérant crescendo vers les entrailles d'une humanité perdue nous rend fous... de cinéma.

Préférer, à mon avis, la version sortie en salle plutôt que la version longue qui, malgré le plaisir d'y retrouver Aurore Clément, brise un peu le rythme du film.


Fool Moon

Comment se crêper le chignon en Bretagne
Un Huis clos entre amis qui tourne mal, l'idée est bonne, le film l'est moins.
Jérôme Lhotsky hésite entre la comédie grinçante qui ne fait de mal à personne et le film d'horreur psychologique façon Chabrol. Du coup on hésite aussi, à sourire ou à trembler. Ce manque de parti est dommageable, d'autant que la caméra, sans originalité, ne nous permet pas de goûter une atmosphère qui aurait mérité d'être d'avantage "mise en scène". Décevant.

Fool Moon


Comédie française (2008).
Le début est bien sympa mais le dernier quart est assez décevant, c'est dommage.

Enfin je trouve que c'est un film pas mal. J'ai d'ailleurs hésité entre moyen et bien...


Critique(s) d'autre(s) auteur(s) sur le film : Vizu, yOg

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Fool Moon

théâtre filmé dans une vieille maison bretonne dont on voit surtout la belle cheminée en briquettes. Morel et sa femme à la drôle de tête portent des maillots rayés assortis normal ils sont Bretons. elle met pas de bière ds sa pâte à crêpes c'est presque l'argument central du film. la femme de l'hélicoptère appelle le chat Hervé. surprenante concentration de noms à particules ds le générique. première moitié du film sympa, dernier tiers nul


dimanche 1 janvier 2012

300


 Avant Watchmen, Snyder nous gratifie d'une autre adaptation de comics, à savoir 300 de l'excellent Frank Miller. Un film monstrueux et inspiré, Des images en HDR à couper le souffle, un jeu rythmique parfait qui nous scotche dans notre fauteuil.
C'est Sparte et ça tue !!!  

Cowboys & Aliens

File:Cowboys & Aliens.jpg
Un peu décevant, je pensais que ça serait un meilleur film étant donné qu'il y avait Harrison Ford et Daniel Craig.

Trop long (2h) et sans surprise.

Mais les acteurs sont quand même bien donc c'est pas si mal...

Une musique du film que je trouve pas mal (Jake Lonergan) :

Avez-vous remarqué qu'Harrison Ford porte le même Fedora que dans Indiana Jones ?

Fiche sur IMDb
Fiche sur AlloCiné
Critique(s) d'autre(s) auteur(s) sur le film : Vizu

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Cowboys & envahisseurs

Pour moi qui peux pas blairer les westerns la dimension alien rend le film plus visible. Le début est mieux que la suite. On peut donc ne voir que le début. Daniel Craig (Poissons) est plus à sa place en Jake (Lonergan) qu’en James (Bond). J’aime bien le chien. ils traduisent systématiquement dark par noirceur, c’est donc injuste de dire que ce film n’a aucun humour. Les parents d’Olivia Wilde (Poissons) sont journalistes. Paul Dano (né à Wilton, Connecticut ! cherchez pas c’est personnel) comme dans There will be blood joue très bien les têtes à claques.

Vizu